Introduction : Comprendre un visuel.

Dans le cour d’aujourd’hui, je vais vous parler de l’importance de bien comprendre la pertinence d’un visuel. On nous dit souvent en tant que graphiste, qu’il est important de faire un veille graphique régulière afin de toujours être à la page sur les dernières tendances etc.. Mais on nous explique rarement comment réaliser cette veille de la manière la plus efficace possible. C’est pour cela que je vais vous partager ma méthode de travail qui m’a permis dans bien des situation de m’en sortir.

En graphisme, il y’a trois points importants à savoir repérer. L’aspect esthétique, le concept et la composition.

Dans l’aspect esthétique ,on va se concentrer sur le traité graphique, la couleur, le choix des photos le style des polices d’écriture, les effets de traitement d’image etc….

Dans la composition nous allons plus nous attarder sur la pertinence des choix de la composition du visuel. Dans le cas d’un photomontage, je vais plus regarder la manière dont les éléments sont agencés et fonctionnent ensemble. Je vais aussi analyser les différences de plan au traver de la perspective, comment ils sont mis en avant dans la création. Il est important de comprendre la façon dont les éléments graphiques sont dispatchés dans les différents niveaux de profondeur.
En comprenant le procédé de créations de vos pairs, vous pourrez ainsi assimiler plus facilement de nouvelle compétences et la ajouter à votre palette de travail.
Dans le cadre d’une création graphique,( Flyer, affiche, post, storie…) On va plus de se focaliser sur la manière dont 

Reprendre le contrôle :
une nécessité

Il m’arrivait souvent d’avoir la sensation de stagner, d’investir beaucoup d’énergie sans retour tangible, ou encore de passer mes journées devant l’ordinateur sans avancer réellement. J’ai compris que pour franchir un cap et progresser vers un niveau supérieur, il me fallait adopter une nouvelle approche.

Je ne prétends pas avoir trouvé le processus parfait. Mais celui que j’ai mis en place me permet aujourd’hui de garder la tête hors de l’eau, même dans les périodes les plus intenses. Il m’aide à mieux gérer le stress, à hiérarchiser mes priorités et, surtout, à savoir lâcher prise une fois mes objectifs atteints.

Ce système n’est pas figé : il évolue avec le temps, l’expérience et la maturité professionnelle. Je vais donc vous en présenter les fondements.

1. La veille stratégique : anticiper
pour créer avec pertinence

Le premier outil que j’ai mis en place est un dashboard de veille — une interface personnalisée regroupant toutes mes sources d’inspiration, recherches, tendances et actualités du secteur digital. Organisé par thématiques, clients ou domaines de pertinence, ce tableau de bord me permet de :

1 – Ne pas perdre une journée entière à faire des recherches à la dernière minute
2 – Rester constamment à jour sur les tendances créatives

3 – Démarrer plus facilement un projet, même dans un domaine que je maîtrise moins

4 – Réduire le stress lié aux deadlines, en étant toujours prêt
5 – Proposer des pistes créatives pertinentes à mes clients, et ainsi les rassurer
6 – Continuer à progresser en m’inspirant du travail de mes pairs.

2. La planification : se projeter
pour mieux gérer

La deuxième étape a été l’adoption d’un outil de planification et de gestion des projets (par exemple Google Calendar, Wrike, Notion, etc.). Grâce à cet outil, je bénéficie d’une vision claire et globale de ma charge de travail, répartie sur plusieurs mois.
Cela me permet :

1 – D’anticiper mes périodes d’activité intense ou creuse
2 – D’organiser mes rendez-vous et mes échanges clients de manière optimale
3 – De prévoir mes rentrées d’argent
4 – Et surtout, de ne plus vivre dans l’urgence.

Même lorsque je suis « off », mon calendrier reste actif et me permet de rester en mouvement — sans subir

Et surtout, de ne plus vivre dans l’urgence.

3. Capitaliser sur l’existant :
une base de travaux réalisés

J’ai également mis en place un dashboard des projets réalisés, dans lequel je regroupe tous les travaux accomplis, qu’ils soient professionnels ou personnels. Chaque création constitue une expérience précieuse, souvent réutilisable ou adaptable.
L’idée ici est de :

1 – Reconnaître les progrès accomplis, et valoriser le chemin parcouru.
2 – Ne pas repartir de zéro à chaque nouveau projet
3 – Identifier les concepts réutilisables ou adaptables
5 – Conserver les créations non validées par les clients mais jugées pertinentes pour d’autres contextes.
6 – Visualiser mes compétences réelles et mes axes d’amélioration

4. Entretenir sa créativité :
le tableau des projets à expérimenter

Enfin, j’ai conçu un dashboard des créations à faire : une page dédiée aux idées, concepts, styles ou techniques que je souhaite explorer. Cette liste classée (de la plus simple à la plus complexe) me sert d’espace de formation continue.

En période creuse, ou quand j’ai besoin de faire une pause avec les projets clients, je m’appuie sur cette liste pour continuer à progresser en douceur. Cela me permet :

1 – De m’entraîner régulièrement
2 – De tester de nouvelles choses sans pression
3 – De transformer un temps mort en moment productif.

Conclusion : se structurer pour mieux évoluer

La mise en place de cette organisation m’a permis de vaincre mon stress, d’être plus efficace et de retrouver du plaisir dans mon travail. J’ai pu définir des repères stables, objectifs, non dictés par des émotions négatives. Aujourd’hui, je ne me dis plus que je stagne, car j’ai des preuves tangibles de mon évolution.

RETOUR